Monteur
Certification RNCP36882
Formacodes 46269 | Montage audiovisuel 46257 | Effets spéciaux
Nomenclature Europe Niveau 6
Formacodes 46269 | Montage audiovisuel 46257 | Effets spéciaux
Nomenclature Europe Niveau 6
Les métiers associés à la certification RNCP36882 : Montage audiovisuel et post-production
Codes NSF 323 | Techniques de l'image et du son, métiers connexes du spectacle
Voies d'accès : Formation initiale Contrat d'apprentissage Formation continue Contrat de professionnalisation VAE
Prérequis : * Titulaires d’une qualification de niveau 5 (diplôme d’État, certification professionnelle ou diplôme d’école), spécialisés dans les métiers de l’audiovisuel, de préférence en montage et postproduction, ou * Titulaires d’une qualification de niveau 4 (ba
Certificateurs :
Voies d'accès : Formation initiale Contrat d'apprentissage Formation continue Contrat de professionnalisation VAE
Prérequis : * Titulaires d’une qualification de niveau 5 (diplôme d’État, certification professionnelle ou diplôme d’école), spécialisés dans les métiers de l’audiovisuel, de préférence en montage et postproduction, ou * Titulaires d’une qualification de niveau 4 (ba
Certificateurs :
Certificateur | SIRET |
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PARIS EICAR CAMPUS | 40278987900051 |
Activités visées :
Préparer la postproduction d’un produit audiovisuel ou cinématographique, Réaliser le montage d’un produit audiovisuel ou cinématographique, Réaliser les finitions d’un produit audiovisuel ou cinématographique.
Préparer la postproduction d’un produit audiovisuel ou cinématographique, Réaliser le montage d’un produit audiovisuel ou cinématographique, Réaliser les finitions d’un produit audiovisuel ou cinématographique.
Capacités attestées :
À partir de la filmographie du réalisateur, appréhender les caractéristiques artistiques de son œuvre pour anticiper ses attentes sur le projet à venir. Analyser le découpage technique du scénario ou du traitement (équivalent du scénario pour le documentaire) établi par le réalisateur avec ses chefs de postes, pour intégrer les attendus artistiques mentionnés par celui-ci pour chaque plan à tourner. Proposer des évolutions ou des ajustements du découpage technique, voire du scénario ou du traitement, en fonction des spécificités techniques ou des contraintes logicielles propres au montage, pour garantir la faisabilité de la postproduction et la satisfaction des attentes du réalisateur. Conseiller le réalisateur sur les plans complémentaires à tourner, non prévus par le séquencier , pour permettre, lors du montage image, de disposer des rushes nécessaires à assurer la fluidité du montage. Structurer l’organisation des fichiers informatiques images et sons livrés et sauvegardés au cours ou au terme de chaque journée de tournage pour permettre leur traitement méthodique et, en cas de mobilisation d’une équipe de postproduction, leur affectation logique aux professionnels du montage mobilisés par le projet, en fonction des particularités techniques des uns et des profils des autres. Vérifier la disponibilité et l’exhaustivité des fiches de script de chaque plan pour disposer des informations nécessaires à assurer la cohérence de l’articulation visuelle du montage des plans successifs. Encoder les rushes pour permettre leur traitement au moyen des logiciels de montage en usage. Synchroniser image et son de chaque rush pour obtenir une première version indicative du rendu audiovisuel de chaque plan. Exploiter les informations fournies par la feuille de script pour chacun des rushes afin de choisir les rushes dont l’enchaînement assurera une cohérence visuelle totale. Choisir l’image sur laquelle débuter et finir chaque plan pour caler l’articulation des rushes retenus les uns avec les autres. Monter les plans les uns à la suite des autres, en intégrant les éléments d’ambiance indicatifs (musiques et/ou sons) pour pouvoir présenter au réalisateur un bout-à-bout, première version du montage image. Prendre en compte les critiques et les suggestion du réalisateur et de l’équipe artistique, voire de la production, pour faire évoluer la première version du montage proposée. Travailler le rythme narratif en testant l’intégration de rushes initialement écartés, en modifiant l’ordre des plans, voire en faisant tourner des plans complémentaires, pour dynamiser le film. Soumettre des alternatives au réalisateur pour parvenir à un montage image en phase avec ses attentes artistiques. Sélectionner les pistes sons en fonction de leur qualité audio, pour couvrir les images retenues au montage. Synchroniser les sons à l’image pour évaluer leur adéquation et les éventuels besoins de prises de sons complémentaires ou correctifs. Contrôler le montage son et le mixage son pour s’assurer de leur qualité et de leur cohérence avec l’intention du réalisateur. Réaliser et intégrer les trucages, au moyen des logiciels en usage tels qu’After Effects, pour compléter le montage image et son. Insérer les effets spéciaux simples au montage pour finaliser l’écriture narrative du projet. Compiler les informations à mentionner, conformément aux usages et à la réglementation, pour permettre leur intégration aux génériques de début et de fin. Réaliser les bannières pour constituer les éléments d’habillage lorsqu’ils sont nécessaires. Intégrer les éléments graphiques et vidéo, si le produit audiovisuel en prévoit, pour finaliser le montage. Définir l’espace colorimétrique de travail en fonction du support de diffusion pour travailler l’homogénéité et la cohérence des couleurs. Créer une cohérence visuelle entre les plans en affinant la colorimétrie, la luminosité et la densité des images pour atteindre une fluidité visuelle du film. Exploiter les logiciels d’export en usage, en intégrant les normes techniques imposées par les conditions d’exploitation, pour réaliser les exports informatiques dans le(s) format(s) adapté(s) au(x) mode(s) de diffusion. Vérifier, en faisant preuve de rigueur et de vigilance, l’ensemble du produit, export par export, pour s’assurer qu’il satisfait les normes de diffusion.
À partir de la filmographie du réalisateur, appréhender les caractéristiques artistiques de son œuvre pour anticiper ses attentes sur le projet à venir. Analyser le découpage technique du scénario ou du traitement (équivalent du scénario pour le documentaire) établi par le réalisateur avec ses chefs de postes, pour intégrer les attendus artistiques mentionnés par celui-ci pour chaque plan à tourner. Proposer des évolutions ou des ajustements du découpage technique, voire du scénario ou du traitement, en fonction des spécificités techniques ou des contraintes logicielles propres au montage, pour garantir la faisabilité de la postproduction et la satisfaction des attentes du réalisateur. Conseiller le réalisateur sur les plans complémentaires à tourner, non prévus par le séquencier , pour permettre, lors du montage image, de disposer des rushes nécessaires à assurer la fluidité du montage. Structurer l’organisation des fichiers informatiques images et sons livrés et sauvegardés au cours ou au terme de chaque journée de tournage pour permettre leur traitement méthodique et, en cas de mobilisation d’une équipe de postproduction, leur affectation logique aux professionnels du montage mobilisés par le projet, en fonction des particularités techniques des uns et des profils des autres. Vérifier la disponibilité et l’exhaustivité des fiches de script de chaque plan pour disposer des informations nécessaires à assurer la cohérence de l’articulation visuelle du montage des plans successifs. Encoder les rushes pour permettre leur traitement au moyen des logiciels de montage en usage. Synchroniser image et son de chaque rush pour obtenir une première version indicative du rendu audiovisuel de chaque plan. Exploiter les informations fournies par la feuille de script pour chacun des rushes afin de choisir les rushes dont l’enchaînement assurera une cohérence visuelle totale. Choisir l’image sur laquelle débuter et finir chaque plan pour caler l’articulation des rushes retenus les uns avec les autres. Monter les plans les uns à la suite des autres, en intégrant les éléments d’ambiance indicatifs (musiques et/ou sons) pour pouvoir présenter au réalisateur un bout-à-bout, première version du montage image. Prendre en compte les critiques et les suggestion du réalisateur et de l’équipe artistique, voire de la production, pour faire évoluer la première version du montage proposée. Travailler le rythme narratif en testant l’intégration de rushes initialement écartés, en modifiant l’ordre des plans, voire en faisant tourner des plans complémentaires, pour dynamiser le film. Soumettre des alternatives au réalisateur pour parvenir à un montage image en phase avec ses attentes artistiques. Sélectionner les pistes sons en fonction de leur qualité audio, pour couvrir les images retenues au montage. Synchroniser les sons à l’image pour évaluer leur adéquation et les éventuels besoins de prises de sons complémentaires ou correctifs. Contrôler le montage son et le mixage son pour s’assurer de leur qualité et de leur cohérence avec l’intention du réalisateur. Réaliser et intégrer les trucages, au moyen des logiciels en usage tels qu’After Effects, pour compléter le montage image et son. Insérer les effets spéciaux simples au montage pour finaliser l’écriture narrative du projet. Compiler les informations à mentionner, conformément aux usages et à la réglementation, pour permettre leur intégration aux génériques de début et de fin. Réaliser les bannières pour constituer les éléments d’habillage lorsqu’ils sont nécessaires. Intégrer les éléments graphiques et vidéo, si le produit audiovisuel en prévoit, pour finaliser le montage. Définir l’espace colorimétrique de travail en fonction du support de diffusion pour travailler l’homogénéité et la cohérence des couleurs. Créer une cohérence visuelle entre les plans en affinant la colorimétrie, la luminosité et la densité des images pour atteindre une fluidité visuelle du film. Exploiter les logiciels d’export en usage, en intégrant les normes techniques imposées par les conditions d’exploitation, pour réaliser les exports informatiques dans le(s) format(s) adapté(s) au(x) mode(s) de diffusion. Vérifier, en faisant preuve de rigueur et de vigilance, l’ensemble du produit, export par export, pour s’assurer qu’il satisfait les normes de diffusion.
Secteurs d'activité :
En contrat de prestation ou sous contrat de travail, le monteur évolue : * essentiellement dans le secteur audiovisuel, au sein de : o sociétés de postproduction ; o chaînes de télévision (généralistes ou thématiques, nationales ou régionales) ; o sociétés de production de films institutionnels ; o sociétés de production de fictions et documentaires pour le cinéma ou la télévision ; * hors secteur audiovisuel, au sein : o d’agences de publicité et de communication ; o de services communication d’entreprises. Dans tous les cas, du fait de sa polyvalence, il intéresse des structures dont le flux de production de programmes audiovisuels autorise soit le recrutement de collaborateurs permanents soit la composition d’équipes flexibles, au gré des projets, constituées de professionnels indépendants, intermittents du spectacle, freelance ou en CDD d’usage (CDD permettant au secteur de recruter des ‘’extras’’.) Dans le secteur audiovisuel, hormis les chaines de télévision, les entreprises du secteur s’avèrent majoritairement de petite ou très petite taille.
En contrat de prestation ou sous contrat de travail, le monteur évolue : * essentiellement dans le secteur audiovisuel, au sein de : o sociétés de postproduction ; o chaînes de télévision (généralistes ou thématiques, nationales ou régionales) ; o sociétés de production de films institutionnels ; o sociétés de production de fictions et documentaires pour le cinéma ou la télévision ; * hors secteur audiovisuel, au sein : o d’agences de publicité et de communication ; o de services communication d’entreprises. Dans tous les cas, du fait de sa polyvalence, il intéresse des structures dont le flux de production de programmes audiovisuels autorise soit le recrutement de collaborateurs permanents soit la composition d’équipes flexibles, au gré des projets, constituées de professionnels indépendants, intermittents du spectacle, freelance ou en CDD d’usage (CDD permettant au secteur de recruter des ‘’extras’’.) Dans le secteur audiovisuel, hormis les chaines de télévision, les entreprises du secteur s’avèrent majoritairement de petite ou très petite taille.
Types d'emplois accessibles :
Les intitulés de poste désignant la fonction de monteur sont issus : * de la convention collective de la production cinématographique (IDCC 3097) ; * de la convention collective de la production audiovisuelle (IDCC 2642). Selon l’ampleur des projets auxquels il collabore et la taille et l'organisation des structures qui l’emploient, le monteur est identifié sous les intitulés de fonction suivants : * assistant monteur ; * monteur, monteur vidéo ; * monteur image ; * chef monteur ; * monteur-étalonneur ; * étalonneur ; * coloriste ; * motion designer ; * truquiste vidéo (flamiste) ; * monteur son. Avec de l’expérience, le monteur peut évoluer vers des fonctions de chef monteur mais également réalisateur, vidéaste ou encore journaliste reporter d’images, fonctions pour lesquelles il conservera tout ou partie de l’activité d’un monteur ou bénéficiera de son expérience de monteur pour une communication optimale de ses intentions artistiques avec un monteur tiers. Il peut également devenir responsable de postproduction, editing supervisor (responsable montage) ou worklow data manager (gestionnaire des données de workflow en postproduction).
Les intitulés de poste désignant la fonction de monteur sont issus : * de la convention collective de la production cinématographique (IDCC 3097) ; * de la convention collective de la production audiovisuelle (IDCC 2642). Selon l’ampleur des projets auxquels il collabore et la taille et l'organisation des structures qui l’emploient, le monteur est identifié sous les intitulés de fonction suivants : * assistant monteur ; * monteur, monteur vidéo ; * monteur image ; * chef monteur ; * monteur-étalonneur ; * étalonneur ; * coloriste ; * motion designer ; * truquiste vidéo (flamiste) ; * monteur son. Avec de l’expérience, le monteur peut évoluer vers des fonctions de chef monteur mais également réalisateur, vidéaste ou encore journaliste reporter d’images, fonctions pour lesquelles il conservera tout ou partie de l’activité d’un monteur ou bénéficiera de son expérience de monteur pour une communication optimale de ses intentions artistiques avec un monteur tiers. Il peut également devenir responsable de postproduction, editing supervisor (responsable montage) ou worklow data manager (gestionnaire des données de workflow en postproduction).
Objectif contexte :
A partir des images et des sons obtenus lors du tournage, le monteur donne du sens et une esthétique à un projet audiovisuel ou cinématographique en choisissant et assemblant les plans, et en calant le son. Principal collaborateur du réalisateur (ou du jo
A partir des images et des sons obtenus lors du tournage, le monteur donne du sens et une esthétique à un projet audiovisuel ou cinématographique en choisissant et assemblant les plans, et en calant le son. Principal collaborateur du réalisateur (ou du jo
Statistiques : :
Année | Certifiés | Certifiés VAE | Taux d'insertion global à 6 mois | Taux d'insertion métier à 2 ans |
---|---|---|---|---|
2019 | 23 | 0 | 71 | 86 |
2020 | 15 | 0 | 82 | 91 |
2018 | 38 | 0 | 97 | 84 |
2017 | 31 | 0 | 93 | 74 |
Bloc de compétences
RNCP36882BC01 : Préparer la postproduction d'un produit audiovisuel ou cinématographique
Compétences :
À partir de la filmographie du réalisateur, appréhender les caractéristiques artistiques de son œuvre pour anticiper ses attentes sur le projet à venir. Analyser le découpage technique du scénario ou du traitement établi par le réalisateur avec ses chefs de postes, pour intégrer les attendus artistiques mentionnés par celui-ci pour chaque plan à tourner. Proposer des évolutions ou des ajustements du découpage technique, voire du scénario ou du traitement, en fonction des spécificités techniques ou des contraintes logicielles propres au montage, pour garantir la faisabilité de la postproduction et la satisfaction des attentes du réalisateur. Conseiller le réalisateur sur les plans complémentaires à tourner, non prévus par le séquencier , pour permettre, lors du montage image, de disposer des rushes nécessaires à assurer la fluidité du montage.
À partir de la filmographie du réalisateur, appréhender les caractéristiques artistiques de son œuvre pour anticiper ses attentes sur le projet à venir. Analyser le découpage technique du scénario ou du traitement établi par le réalisateur avec ses chefs de postes, pour intégrer les attendus artistiques mentionnés par celui-ci pour chaque plan à tourner. Proposer des évolutions ou des ajustements du découpage technique, voire du scénario ou du traitement, en fonction des spécificités techniques ou des contraintes logicielles propres au montage, pour garantir la faisabilité de la postproduction et la satisfaction des attentes du réalisateur. Conseiller le réalisateur sur les plans complémentaires à tourner, non prévus par le séquencier , pour permettre, lors du montage image, de disposer des rushes nécessaires à assurer la fluidité du montage.
Modalités d'évaluation :
Cas réel ou simulé – évaluation individuelle Sur la base d'échanges avec un réalisateur et d’une note d’intention de réalisation, concernant un produit audiovisuel (à tourner et) à monter, le Monteur s’approprie la vision de son commanditaire et retranscrit sa compréhension des intentions artistiques et des attentes du réalisateur pour le montage. Livrable : Note d’intention de postproduction. Épreuve : Evaluation par un jury constitué de deux professionnels de la réalisation ou de la production audiovisuelle, note d’intention de réalisation à l’appui.
Cas réel ou simulé – évaluation individuelle Sur la base d'échanges avec un réalisateur et d’une note d’intention de réalisation, concernant un produit audiovisuel (à tourner et) à monter, le Monteur s’approprie la vision de son commanditaire et retranscrit sa compréhension des intentions artistiques et des attentes du réalisateur pour le montage. Livrable : Note d’intention de postproduction. Épreuve : Evaluation par un jury constitué de deux professionnels de la réalisation ou de la production audiovisuelle, note d’intention de réalisation à l’appui.
RNCP36882BC02 : Réaliser le montage d'un projet audiovisuel ou cinématographique
Compétences :
Structurer l’organisation des fichiers informatiques images et sons livrés et sauvegardés au cours ou au terme de chaque journée de tournage pour permettre leur traitement méthodique et, en cas de mobilisation d’une équipe de postproduction, leur affectation logique aux professionnels du montage mobilisés par le projet, en fonction des particularités techniques des uns et des profils des autres. Vérifier la disponibilité et l’exhaustivité des fiches de script de chaque plan pour disposer des informations nécessaires à assurer la cohérence de l’articulation visuelle du montage des plans successifs. Encoder les rushes pour permettre leur traitement au moyen des logiciels de montage en usage. Synchroniser image et son de chaque rush pour obtenir une première version indicative du rendu audiovisuel de chaque plan. Exploiter les informations fournies par la feuille de script pour chacun des rushes afin de choisir les rushes dont l’enchaînement assurera une cohérence visuelle totale. Choisir l’image sur laquelle débuter et finir chaque plan pour caler l’articulation des rushes retenus les uns avec les autres. Monter les plans les uns à la suite des autres, en intégrant les éléments d’ambiance indicatifs (musiques et/ou sons) pour pouvoir présenter au réalisateur un bout-à-bout, première version du montage image. Prendre en compte les critiques et les suggestion du réalisateur et de l’équipe artistique, voire de la production, pour faire évoluer la première version du montage proposée. Travailler le rythme narratif en testant l’intégration de rushes initialement écartés, en modifiant l’ordre des plans, voire en faisant tourner des plans complémentaires, pour dynamiser le film. Soumettre des alternatives au réalisateur pour parvenir à un montage image en phase avec ses attentes artistiques. Sélectionner les pistes sons en fonction de leur qualité audio, pour couvrir les images retenues au montage. Synchroniser les sons à l’image pour évaluer leur adéquation et les éventuels besoins de prises de sons complémentaires ou correctifs. Contrôler le montage son et le mixage son pour s'assurer de leur qualité et de leur cohérence avec l'intention du réalisateur.
Structurer l’organisation des fichiers informatiques images et sons livrés et sauvegardés au cours ou au terme de chaque journée de tournage pour permettre leur traitement méthodique et, en cas de mobilisation d’une équipe de postproduction, leur affectation logique aux professionnels du montage mobilisés par le projet, en fonction des particularités techniques des uns et des profils des autres. Vérifier la disponibilité et l’exhaustivité des fiches de script de chaque plan pour disposer des informations nécessaires à assurer la cohérence de l’articulation visuelle du montage des plans successifs. Encoder les rushes pour permettre leur traitement au moyen des logiciels de montage en usage. Synchroniser image et son de chaque rush pour obtenir une première version indicative du rendu audiovisuel de chaque plan. Exploiter les informations fournies par la feuille de script pour chacun des rushes afin de choisir les rushes dont l’enchaînement assurera une cohérence visuelle totale. Choisir l’image sur laquelle débuter et finir chaque plan pour caler l’articulation des rushes retenus les uns avec les autres. Monter les plans les uns à la suite des autres, en intégrant les éléments d’ambiance indicatifs (musiques et/ou sons) pour pouvoir présenter au réalisateur un bout-à-bout, première version du montage image. Prendre en compte les critiques et les suggestion du réalisateur et de l’équipe artistique, voire de la production, pour faire évoluer la première version du montage proposée. Travailler le rythme narratif en testant l’intégration de rushes initialement écartés, en modifiant l’ordre des plans, voire en faisant tourner des plans complémentaires, pour dynamiser le film. Soumettre des alternatives au réalisateur pour parvenir à un montage image en phase avec ses attentes artistiques. Sélectionner les pistes sons en fonction de leur qualité audio, pour couvrir les images retenues au montage. Synchroniser les sons à l’image pour évaluer leur adéquation et les éventuels besoins de prises de sons complémentaires ou correctifs. Contrôler le montage son et le mixage son pour s'assurer de leur qualité et de leur cohérence avec l'intention du réalisateur.
Modalités d'évaluation :
Cas réel ou simulé – évaluation individuelle A partir des rushs et des prises de sons résultant d’un tournage, le Monteur réalise le montage d’un produit audiovisuel, conformément à la vision du réalisateur et au séquencier. Livrables : le bout-à-bout (ours) et la version finale du montage image et son avant la réalisation des finitions. Épreuves : * évaluation de l’ours par un jury constitué d’un professionnel de la réalisation audiovisuelle et d’un professionnel du montage donnant lieu à des recommandations et des demandes d’évolution. * soutenance orale de 30 minutes, devant un jury constitué d’un professionnel de la réalisation audiovisuelle et d’un professionnel du montage, recommandations et demandes d’évolutions préalables à l’appui.
Cas réel ou simulé – évaluation individuelle A partir des rushs et des prises de sons résultant d’un tournage, le Monteur réalise le montage d’un produit audiovisuel, conformément à la vision du réalisateur et au séquencier. Livrables : le bout-à-bout (ours) et la version finale du montage image et son avant la réalisation des finitions. Épreuves : * évaluation de l’ours par un jury constitué d’un professionnel de la réalisation audiovisuelle et d’un professionnel du montage donnant lieu à des recommandations et des demandes d’évolution. * soutenance orale de 30 minutes, devant un jury constitué d’un professionnel de la réalisation audiovisuelle et d’un professionnel du montage, recommandations et demandes d’évolutions préalables à l’appui.
RNCP36882BC03 : Réaliser les finitions d’un produit audiovisuel ou cinématographique
Compétences :
Réaliser et intégrer les trucages, au moyen des logiciels en usage tels qu’After Effects, pour compléter le montage image et son. Insérer les effets spéciaux simples au montage pour finaliser l’écriture narrative du projet. Compiler les informations à mentionner, conformément aux usages et à la réglementation, pour permettre leur intégration aux génériques de début et de fin. Réaliser les bannières pour constituer les éléments d’habillage lorsqu’ils sont nécessaires. Intégrer les éléments graphiques et vidéo, si le produit audiovisuel en prévoit, pour finaliser le montage. Définir l’espace colorimétrique de travail en fonction du support de diffusion pour travailler l’homogénéité et la cohérence des couleurs. Créer une cohérence visuelle entre les plans en affinant la colorimétrie, la luminosité et la densité des images pour atteindre une fluidité visuelle du film. Exploiter les logiciels d’export en usage, en intégrant les normes techniques imposées par les conditions d’exploitation, pour réaliser les exports informatiques dans le(s) format(s) adapté(s) au(x) mode(s) de diffusion. Vérifier, en faisant preuve de rigueur et de vigilance, l’ensemble du produit, export par export, pour s’assurer qu’il satisfait les normes de diffusion.
Réaliser et intégrer les trucages, au moyen des logiciels en usage tels qu’After Effects, pour compléter le montage image et son. Insérer les effets spéciaux simples au montage pour finaliser l’écriture narrative du projet. Compiler les informations à mentionner, conformément aux usages et à la réglementation, pour permettre leur intégration aux génériques de début et de fin. Réaliser les bannières pour constituer les éléments d’habillage lorsqu’ils sont nécessaires. Intégrer les éléments graphiques et vidéo, si le produit audiovisuel en prévoit, pour finaliser le montage. Définir l’espace colorimétrique de travail en fonction du support de diffusion pour travailler l’homogénéité et la cohérence des couleurs. Créer une cohérence visuelle entre les plans en affinant la colorimétrie, la luminosité et la densité des images pour atteindre une fluidité visuelle du film. Exploiter les logiciels d’export en usage, en intégrant les normes techniques imposées par les conditions d’exploitation, pour réaliser les exports informatiques dans le(s) format(s) adapté(s) au(x) mode(s) de diffusion. Vérifier, en faisant preuve de rigueur et de vigilance, l’ensemble du produit, export par export, pour s’assurer qu’il satisfait les normes de diffusion.
Modalités d'évaluation :
Cas réel – évaluation individuelle Le Monteur livre un produit audiovisuel finalisé en postproduction dont il a assuré le montage et l’étalonnage, incluant un ou des effets spéciaux, un générique de début et de fin et des éléments d’habillage image. Livrables : produit audiovisuel finalisé en postproduction. Épreuve : évaluation du produit fini par un jury constitué de deux professionnels de la postproduction.
Cas réel – évaluation individuelle Le Monteur livre un produit audiovisuel finalisé en postproduction dont il a assuré le montage et l’étalonnage, incluant un ou des effets spéciaux, un générique de début et de fin et des éléments d’habillage image. Livrables : produit audiovisuel finalisé en postproduction. Épreuve : évaluation du produit fini par un jury constitué de deux professionnels de la postproduction.
Partenaires actifs :
Partenaire | SIRET | Habilitation |
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AIX YNOV CAMPUS | 52831294500025 | HABILITATION_ORGA_FORM |
LYON EICAR CAMPUS | 50473969900040 | HABILITATION_ORGA_FORM |
PARIS YNOV CAMPUS | 53066741900051 | HABILITATION_ORGA_FORM |
TOULOUSE YNOV CAMPUS | 53310463400035 | HABILITATION_ORGA_FORM |